D’une nuit de Noël solitaire aux souvenirs de Vienne avant l’Anschluss, ce Café Schopenhauer est une conversation aussi forte et entêtante qu’un double ristretto comme les aime son auteur. On y apprendra en quoi C. Jérôme est l’incarnation la plus parfaite de l’âme japonaise, ce qu’ont en commun les patates douces et les pompes funèbres. On bavarde avec Cioran, avec Gabriel Matzneff le Maudit, avec Peter Handke, avec des fantômes croisés dans les rayons du Bon Marché ou entre les tombes de cimetières oubliés. Il y a Atma, le chien du célèbre Arthur. Il y a des femmes endormies et vénéneuses. Une dernière dose de pessimisme élégant prescrite par Roland Jaccard, docteur en désespoir moqueur.
Disponible en version numérique et papier, édition indépendante, en suivant ce lien…
Cher Roland, Arthur est mort le 21 septembre, tu es né le 22. La preuve est faite, c’est quasiment scientifique. La réincarnation existe. Olivier. PS: Une caresse à Atma.
J’aimeJ’aime